Les travaux de recherche du Dʳ Tarek Bismar aident les médecins à prédire la vitesse à laquelle une tumeur prostatique se développera. Et cela est possible grâce à vous!
2 min. de lecture
Le traitement du cancer de la prostate diffère d’une personne à l’autre. Un traitement agressif pourrait être nécessaire pour certains patients au stade avancé de la maladie, tandis que d’autres patients atteints d’une forme précoce pourraient n’avoir besoin d’aucun traitement.
Pour ce dernier groupe, les médecins recommandent parfois une surveillance active, c’est-à-dire un processus leur permettant de surveiller de près les signes de progression du cancer. Cette approche peut contribuer à éviter les effets secondaires déplaisants du traitement pour les cancers qui ne constituent pas une menace grave ou imminente.
Bien que la surveillance active présente des avantages pour les tumeurs à progression lente, les médecins doivent trouver un moyen de prédire avec exactitude quels cancers de la prostate se développeront sous une forme plus agressive.
Cet objectif pourrait être concrétisé grâce à un nouvel essai clinique que vous avez aidé à financer.
Le Dʳ Tarek Bismar, chercheur financé par la SCC, et son équipe mènent un essai visant à aider les médecins à prédire la vitesse à laquelle une tumeur prostatique se développera ou se propagera.
Ils ont découvert un nouveau biomarqueur appelé ISL1, qui est lié aux tumeurs prostatiques résistant au traitement et se propageant de façon agressive. L’équipe a constaté que les niveaux d’ISL1 étaient plus bas dans les tumeurs prostatiques de haut grade et métastatiques. Ils ont aussi trouvé deux biomarqueurs qui pourraient aider les médecins à prédire la progression de la maladie avec plus d’exactitude.
Avec cette information, les médecins pourront mieux adapter le traitement selon le patient. Ils pourront veiller à ce que les patients atteints d’une tumeur à plus faible risque ne reçoivent pas de traitements inutiles ou toxiques, et que les patients ayant une tumeur agressive obtiennent un traitement plus susceptible de leur sauver la vie.
C’est grâce à vos dons que ce travail est possible.
« Je suis très reconnaissant aux donateurs de la SCC pour leur contribution, souligne le Dr Bismar. Sans eux, je ne pourrais y arriver. Les travaux qu’ils appuient aideront à améliorer les soins offerts aux hommes atteints d’un cancer de la prostate. »
Pour ce dernier groupe, les médecins recommandent parfois une surveillance active, c’est-à-dire un processus leur permettant de surveiller de près les signes de progression du cancer. Cette approche peut contribuer à éviter les effets secondaires déplaisants du traitement pour les cancers qui ne constituent pas une menace grave ou imminente.
Bien que la surveillance active présente des avantages pour les tumeurs à progression lente, les médecins doivent trouver un moyen de prédire avec exactitude quels cancers de la prostate se développeront sous une forme plus agressive.
Cet objectif pourrait être concrétisé grâce à un nouvel essai clinique que vous avez aidé à financer.
Le Dʳ Tarek Bismar, chercheur financé par la SCC, et son équipe mènent un essai visant à aider les médecins à prédire la vitesse à laquelle une tumeur prostatique se développera ou se propagera.
Ils ont découvert un nouveau biomarqueur appelé ISL1, qui est lié aux tumeurs prostatiques résistant au traitement et se propageant de façon agressive. L’équipe a constaté que les niveaux d’ISL1 étaient plus bas dans les tumeurs prostatiques de haut grade et métastatiques. Ils ont aussi trouvé deux biomarqueurs qui pourraient aider les médecins à prédire la progression de la maladie avec plus d’exactitude.
Avec cette information, les médecins pourront mieux adapter le traitement selon le patient. Ils pourront veiller à ce que les patients atteints d’une tumeur à plus faible risque ne reçoivent pas de traitements inutiles ou toxiques, et que les patients ayant une tumeur agressive obtiennent un traitement plus susceptible de leur sauver la vie.
C’est grâce à vos dons que ce travail est possible.
« Je suis très reconnaissant aux donateurs de la SCC pour leur contribution, souligne le Dr Bismar. Sans eux, je ne pourrais y arriver. Les travaux qu’ils appuient aideront à améliorer les soins offerts aux hommes atteints d’un cancer de la prostate. »